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Si j’avais un million de dollars… je serais assez aisé

Par : Graham Iddon


5 octobre 2020

Inflation, musique pop et évolution réelle des prix

Quand le groupe torontois Barenaked Ladies a sorti sa chanson If I Had a $1,000,000, un million de dollars auraient été suffisants pour que les membres du groupe vivent une vie de rêve. Est-ce toujours le cas 30 ans plus tard? Voyons un peu.

Cette chose qu’on appelle « inflation »

La Banque du Canada définit l’inflation comme « une hausse persistante du niveau moyen des prix au fil du temps ». Le taux d’inflation, quant à lui, reflète la mesure dans laquelle les prix ont augmenté ou baissé par rapport à l’année précédente.

Comment ça se calcule?

Pour calculer le taux d’inflation, la Banque commence par dresser une liste d’articles représentatifs des dépenses d’un ménage canadien moyen. Statistique Canada consigne le prix de ces articles tout au long de l’année, créant ce qu’on appelle l’Indice des prix à la consommation (IPC). Les prix de l’année en cours sont comparés à ceux de l’année de référence pour déterminer le niveau de pouvoir d’achat gagné ou perdu.

À l’heure actuelle, l’année de référence est 2002. En 2019, l’indice d’inflation était de 136. Donc, cette année-là, vous auriez payé 136 $ pour les mêmes biens et services qui vous auraient coûté 100 $ en 2002.

Pas besoin de s’arracher les cheveux à essayer de convertir le coût d’une pinte de lait en 1954 en prix d’aujourd’hui, puisque la Banque du Canada offre un merveilleux gadget accessible en ligne : une feuille de calcul de l’inflation. Celle-ci comprend les données sur les taux d’inflation passés (remontant à 1914) et permet de convertir les prix d’une année donnée en dollars d’aujourd’hui.

Un des premiers récepteurs téléphoniques mobiles et son gros étui de transport.

À la fin des années 1980, le téléphone cellulaire était un article de luxe qui coûtait extrêmement cher et qui avait peu d’effet sur l’IPC. De nos jours, cet appareil constitue une dépense courante pour laquelle les Canadiens dépensent 40 milliards de dollars.
Source : Wikimedia Commons, Trent021

Prenons donc quelques articles cités dans la chanson des Barenaked Ladies et voyons, à l’aide de cette feuille de calcul, combien ils coûteraient aujourd’hui.

Combien ça coûte? En 1990 En 2020
Du Dîner Kraft 1,00 $ 1,75 $
Une maison* 200 000 $ 350 000 $
Des meubles pour la maison† 4 000 $ 7 000 $
Une voiture compacte 8 500 $ 15 000 $
Un manteau en fausse fourrure 60 $ 105 $
Un animal exotique 10 000 $ 17 835 $
Un Picasso§ 200 000 $ 350 000 $
Un Garfunkel S. o. S. o.

* Maison individuelle moyenne de trois chambres à coucher en banlieue de Toronto.
† Pour un salon, un coin-repas, un bureau et trois chambres à coucher.
§ Une esquisse au crayon.

Des calculs de l’inflation à prendre avec un grain de sel

La feuille de calcul de l’inflation est vraiment pratique pour avoir une idée du niveau de variation des prix dans le temps. Mais les résultats ne sont pas toujours exacts, car il y a beaucoup de facteurs dont elle ne peut pas tenir compte. Il faut parfois faire quelques recherches pour bien interpréter la variation du pouvoir d’achat de notre dollar. Voyons donc quels sont les effets de l’inflation sur ces articles – dont certains sont communs et d’autres, farfelus – en utilisant leur prix effectif passé… car le contexte explique bien des choses!

Si on achetait une œuvre d’art…

Je ne sais pas ce qu’il en est aujourd’hui, mais je suis certain qu’Art Garfunkel n’était pas à vendre en 1990. Mais qu’en est-il d’un Picasso? Même en 1990, les prix auxquels les tableaux de cet artiste se vendaient aux enchères étaient bien trop élevés pour les Barenaked Ladies. À cette époque, ils auraient peut-être pu acheter une serviette de table gribouillée par l’artiste à un prix qui convenait à leur budget, mais plus maintenant!

… ou un animal exotique

En 1990, les Barenaked Ladies pouvaient certainement s’offrir un lama. Mais ce camélidé était alors en vogue et son prix, en train d’exploser. En fait, le marché des lamas connaissait une bulle de prix! Avant qu’elle n’éclate, un bon lama aurait coûté près de 18 000 $ en dollars d’aujourd’hui. On peut supposer que bon nombre de spéculateurs de lamas ont été ruinés par la chute des prix…

Illustration d’un lama avec une étiquette de prix à son cou sur laquelle on lit « 10 000 $ ».

Ces jours-ci, un bon lama vous coûterait environ 3 500 $.
Source : Wikimedia, Pearson Scott Foresman

… ou bien une maison

Quoi? Une maison individuelle de trois chambres à coucher, à Toronto, pour 350 000 $? À ce prix-là, il faudrait certainement la rénover de fond en comble. La feuille de calcul de l’inflation donne-t-elle l’heure juste?

Tout d’abord, il faut savoir que les prix de l’immobilier ne sont pas inclus dans l’IPC parce qu’une maison est considérée comme un actif, c’est-à-dire un genre d’investissement. De plus, le marché du logement évolue en dent de scie, diffère grandement d’une ville à l’autre, et ne sera jamais un indicateur fiable du taux d’inflation d’un pays. Une feuille de calcul de l’inflation n’est donc pas très utile pour comparer les prix de l’immobilier, même si le coût du logement représente une grande part des dépenses des ménages.

L’IPC tient compte de ce marché par un calcul des éléments touchés par les prix de l’immobilier à long terme, comme le loyer et les intérêts hypothécaires. Ce calcul qui atténue les hauts et les bas du marché du logement tend à refléter un coût de la vie plus réaliste.

En revanche, le prix des meubles a fidèlement suivi le taux d’inflation au fil du temps. Ils sont peu susceptibles d’être très touchés par des problèmes liés à l’offre et la demande. Qui plus est, les meubles n’ont jamais fait l’objet de bulles de prix – pas même les poufs! C’est la même chose pour les manteaux en fausse fourrure.

Black and white photograph of a 1950s suburban house.

Mes parents ont payé 15 000 $ en 1959 pour cette maison moyenne de Toronto. En dollars de 2020, ça équivaut à 143 000 $. Mais en fait, le même genre de maison dans le même genre de quartier se vend près de 900 000 $ aujourd’hui.
Source : Dawn Iddon

… ou encore une belle voiture

Une berline compacte de base.

Chrysler a réagi à la montée en flèche des prix du pétrole dans les années 1970 et 1980 en créant les voitures abordables de gamme « K-car », car les conducteurs nord-américains ne pouvaient plus s’offrir des berlines énergivores à moteur V 8. C’est aussi à ce moment que les voitures japonaises ont commencé à inonder le marché.
Source : Wikimedia, IF CAR

Aujourd’hui, on peut certainement acheter une bonne petite voiture pour environ 15 000 $, mais pas une Chrysler de gamme « K-car ». Ce type d’automobile était loin d’être un véhicule de luxe, mais il aurait pu transporter tous les membres des Barenaked Ladies et leur agent! Essayez de faire entrer six adultes dans une petite voiture compacte moderne sans bafouer leur dignité. On s’entend, ça ne fonctionnerait pas très bien. Ce côté pratique que procurait la voiture de 1990 par rapport à celle de 2020 et qui n’a rien à voir avec le prix est en fait une forme d’inflation.

On appelle ce type d’inflation sournois « inflation cachée ». Souvent associée à de mystérieux phénomènes tels que la diminution du contenu des boîtes de biscuits, elle représente une baisse du rapport quantité-prix, une tactique à laquelle les fabricants recourent pour continuer d’afficher de bon prix.

Dans le cas des voitures de gamme K-car, le plus gros problème est qu’il n’existe tout simplement plus de modèle comparable dans cette catégorie de prix aujourd’hui. En fait, il faut se procurer une grosse voiture ou un véhicule utilitaire sport (VUS) pour pouvoir accueillir autant de passagers. Cela dit, la qualité et la performance de choses comme les voitures et l’électronique s’améliorent constamment, créant ainsi un autre genre de valeur. Donc plus on recule dans le temps, plus il est compliqué de faire des comparaisons.

Image d’un biscuit avec une flèche montante.

Bien que le prix des paquets de biscuits Oreo a augmenté au même rythme que les taux d’inflation officiels des États-Unis depuis 1971, leur prix au poids a augmenté à un taux plus que double. Dans ce cas, l’inflation se cache dans le ventre des amateurs d’Oreo.

Des conditions égales

Billet de banque sur lequel figure le profil d’un gentilhomme du 18<sup>e</sup> siècle imprimé à l’encre violette.

Adam Smith était un économiste et philosophe du 18e siècle dont les observations fines sur le fonctionnement des économies sont toujours pertinentes aujourd’hui.
Source : 20 livres, Royaume-Uni, 2008 NCC 2008.15.51

En cherchant une équivalence historique, il faut tenir compte à la fois du contexte économique et du contexte fonctionnel. À ce titre, le revenu moyen s’avère très révélateur.


Le prix réel de chaque chose, ce que chaque chose coûte réellement à celui qui veut se la procurer, c’est le travail et la peine qu’il doit s’imposer pour l’obtenir. »

Adam Smith, La richesse des nations, 1776


Adam Smith fait référence aux salaires. Il est inutile de comparer le prix d’une maison ou d’une voiture sur plusieurs décennies si on n’a pas de contexte commun aux deux époques. Un bon point de départ est de prêter moins d’attention aux chiffres réels et de considérer plutôt, comme le dit M. Smith, le travail qu’il faut accomplir pour pouvoir acheter l’article désiré. Prenons le cas d’une maison à Toronto. En 1960, son prix de vente était équivalent à environ trois fois le salaire annuel moyen au pays. En 1990, il était équivalent à huit fois le salaire moyen. Et aujourd’hui? Cette même maison vaut 15 fois le salaire moyen! Il faut toutefois noter que le salaire moyen des travailleurs torontois est le plus élevé au pays et que les taux d’intérêt sont très bas en ce moment. Cela explique en grande partie comment le marché peut supporter de tels prix et montre à quel point la recherche d’une équivalence historique peut être compliquée.

Nous en avons plus

Ajoutons à tout ça le fait que nos revenus semblaient plus substantiels dans « le bon vieux temps ». En fait, il existait moins de choses à acheter. Nous vivons aujourd’hui dans un monde numérique – télévision en continu, Wi-Fi, forfaits de données, ordinateurs portables – et nos garde-robes contiennent beaucoup plus de vêtements que ce que nos grands-parents auraient rêvé de porter. Tous ces articles représentent ce que nous achetons en moyenne pour soutenir notre mode de vie et sont pris en compte dans l’IPC. Nous avons aussi bien plus de moyens d’obtenir du crédit que nos grands-parents n’en avaient à leur époque. Et c’est une autre chose dont il faut tenir compte.

La feuille de calcul de l’inflation est donc un outil utile pour avoir une idée du pouvoir d’achat d’un dollar datant d’il y a quelques générations. Mais pour estimer l’inflation, mettez votre chapeau d’historien et tenez compte du contexte – cela vous aidera à voir ce que ces prix signifiaient réellement pour le ménage canadien moyen.

Et qu’en est-il des Barenaked Ladies? Eh bien, en 2020, ils auraient un prêt hypothécaire, un VUS en location, et ils pourraient peut-être acheter l’affiche d’un tableau de Picasso dans une galerie d’art. Par contre, ils pourraient toujours se payer autant de Dîner Kraft et de saucisses préemballées qu’ils le souhaitent, et même plus, puisque le Dîner Kraft coûte un peu moins cher que le montant estimé par la feuille de calcul de l’inflation. Bon appétit!

Photo en noir et blanc d’une cuisine de base.

En 1928, cette cuisine de style Bauhaus était à l’avant-garde du design. Mais elle ne comprenait pas les gadgets et les appareils que nous tenons pour acquis aujourd’hui. La comparer avec les cuisines modernes n’est donc pas juste.
Source : Wikimedia, Centre Canadien d’Architecture

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7 février 2014

Les billets de la Collection - L'année à venir

Par : Raewyn Passmore


Quatre mois après notre arrivée, l’Équipe responsable de la Collection commence à s’adapter à sa nouvelle demeure. La plupart des boîtes ont été déballées, mais il reste encore beaucoup de travail à faire. En 2014, nous collaborerons avec l’Équipe des expositions à l’appui des expositions itinérantes et proposerons des idées pour les futurs locaux du Musée.
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18 novembre 2013

Les billets de la Collection - Un voyage d’achat à Toronto

Par : Paul S. Berry


Récemment, du 3 au 5 octobre, des responsables des collections ont participé à la Toronto Coin Expo, qui se tenait à la Bibliothèque de référence de Toronto, rue Yonge. Cette exposition proposait des conférences instructives, un grand encan de pièces de monnaie, de jetons et de monnaie de papier, ainsi qu’une salle d’exposition, appelée une « bourse », où les négociants accueillaient les clients et vendaient et achetaient des articles numismatiques.
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28 octobre 2013

Le mot du directeur : Une aide fort appréciée

Par : Ken Ross


Dans un de mes meilleurs moments de cinéma, Josh Waitzkin, un petit prodige des échecs âgé d’alors onze ans, fait le vide dans son esprit et imagine qu’il débarrasse l’échiquier devant lui de ses pièces pour mieux réfléchir à sa stratégie en vue d’une partie déterminante. On est dans un tournoi et il est sur le point de le remporter.
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7 octobre 2013

Les présentoirs sont presque vides

Par : Graham Iddon


Plus de 2 000 pièces de monnaie, billets de banque, perles et coquillages sortent de leur vitrine pour la première fois depuis qu’ils y ont été placés, en 1980. Le personnel de conservation du Musée s’affaire à retirer les panneaux des vitrines, à placer les pièces dans des tiroirs spécialement conçus pour les recueillir et à glisser les billets dans des enveloppes sans acide en mylar.
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24 septembre 2013

Le Musée commence à se vider

Par : Graham Iddon


Les festivités des fabuleux adieux du Musée de la monnaie venaient à peine de se terminer que le conservateur en chef, Paul Berry, et son équipe commençaient à vider les vitrines, qui n’avaient pas été ouvertes depuis 1980. La tâche la plus colossale a été de retirer les quelque 2 500 billets de banque exposés dans la salle communément appelée « galerie 8 ».
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16 septembre 2013

Les billets de la Collection : Congrès de l’ARNC de 2013 à Winnipeg

Par : David Bergeron


Le congrès de l’Association royale de numismatique du Canada (ARNC) s’est conclu en juillet dernier à Winnipeg, au Manitoba. Il y avait plus de trente ans que l’ARNC n’avait pas tenu son congrès dans cette ville.
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6 septembre 2013

Le grand départ de nos gros artéfacts

Par : Graham Iddon


Le 2 juillet, le Musée a fermé ses portes pour être rénové. Dans cette optique, vers la fin du mois de mai, des techniciens ont commencé à procéder au déménagement des artéfacts les plus volumineux. Le premier à partir a été le coffre-fort.
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30 août 2013

Le mot du directeur - c’est le début d’un temps nouveau

Par : Ken Ross


« Quand une porte se ferme, une autre s’ouvre » : nous connaissons presque tous cette citation célèbre d’Alexander Graham Bell. Cependant, nous oublions souvent qu’elle comporte une deuxième partie : « Mais nous regardons souvent si longtemps et avec tant de regrets la porte fermée que nous ne voyons pas celles qui s’ouvrent pour nous. »
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30 juillet 2013

À la mémoire d’Alex Colville (1920-2013)

Par : Raewyn Passmore


Le personnel du Musée de la monnaie a été attristé d’apprendre le décès de l’artiste Alex Colville, le 16 juillet à son domicile de Wolfville, en Nouvelle-Écosse, à l’âge de 92 ans. M. Colville est l’un des peintres les plus célèbres au Canada, mais ses sculptures, elles, sont moins connues.
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21 juin 2013

Au revoir, cher Musée!

Par : Graham Iddon


Les origines du Musée de la monnaie remontent à 1959, année où le gouverneur James Coyne a proposé d’instaurer une collection de monnaies reflétant l’histoire colorée des moyens de paiement au Canada. C’est en 1963 que le feu vert a été donné par le successeur de M. Coyne, Louis Rasminsky. Entre-temps, on avait élargi le mandat de la collection pour y inclure l’histoire mondiale de la monnaie, des artéfacts liés à sa fabrication ainsi qu’au domaine bancaire, de même qu’une bibliothèque consacrée à la numismatique.
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