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Leçons de la Grande Dépression

Par : Graham Iddon


18 avril 2024
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La Grande Dépression a marqué un tournant dans l’histoire économique – un moment où la nature de l’argent et la façon dont il est régi ont changé pour toujours.

Les années 1920 : règne de l’optimisme économique

Après la victoire des Alliés et la fin de la Première Guerre mondiale, une confiance exubérante dans l’économie florissait partout au Canada et aux États-Unis. Des technologies modernes comme les appareils de cuisine, les radios et les automobiles inondaient le marché – et devenaient accessibles à une population enthousiaste grâce à la magie du crédit.

Plaque de métal de couleur argent, trou dans le haut, chiffres dans le bas, lion tenant des armoiries.

Avant l’apparition des cartes de crédit universelles, la clientèle pouvait « acheter maintenant et payer plus tard » avec un compte de crédit dans un magasin. Il suffisait de montrer son jeton de crédit numéroté.
Source : Jeton de paiement de Gimbel Brothers, New York, États-Unis, 1920 | NCC 2006.92.3

Grâce au crédit, les gens ordinaires pouvaient profiter de l’effervescence du marché boursier en empruntant pour acheter des actions « sur marge ». Ainsi, une personne pouvait acheter des actions en payant seulement 40 %, 30 % ou même 10 % de leur valeur, dans l’espoir de les vendre plus tard et de rembourser le prêt avec les énormes profits que faisaient miroiter les courtiers. En 1929, 40% de la dette à la consommation aux États-Unis était consacré à l’achat d’actions. Des milliers de gens au Canada ont aussi dépensé tout leur argent pour profiter de la manne. Beaucoup croyaient qu’un futur riche et prospère les attendait, et les marchés ont monté en flèche.

Certificat bordé de motifs géométriques complexes, une allégorie du commerce et de la récolte.

Lorsque ces actions d’une chaîne d’épiceries canadiennes ont été achetées en 1929, leur valeur était près de son sommet. Cinq mois plus tard, c’était une toute autre histoire.
Source : 100 actions, certificat, Dominion Stores ltée, Canada, 1929 | NCC 2016.9.3

1929 : La bulle

Une bulle économique est un cycle d’achat caractérisé par une hausse vertigineuse et constante des prix, suivie d’une dégringolade souvent soudaine – comme une bulle qui grossit jusqu’à éclater. Investir dans une bulle équivaut à faire de la spéculation : acheter des titres, comme des actions, en croyant que leur prix continuera de monter et qu’ils nous procureront des profits alléchants au moment de la vente. Tant que l’offre demeure constante et que le nombre d’acheteurs augmente, la valeur des titres continue de monter – et les détenteurs hésitent à les vendre. C’est une prophétie autoréalisatrice à l’aboutissement tragique. À la fin de l’été 1929, les marchés boursiers canadiens et américains incarnaient parfaitement une bulle économique dans un état avancé. Beaucoup voulaient croire que le marché boursier galopant était la preuve d’une économie florissante. Ce n’était pas le cas.

Chaque époque a sa folie particulière : un projet ou un rêve dans lequel la société plonge, motivée par l’appât du gain, la nécessité de l’engouement ou l’esprit d’émulation. [Traduction]

Charles Mackay, Délires populaires extraordinaires et la folie des foules

Ce que cachait la bulle

En fait, la majeure partie du monde avait plutôt mauvaise mine dans les années 1920. L’Europe dévastée peinait encore à se remettre de la Première Guerre mondiale, et beaucoup de nations imposaient des droits de douane pour protéger leur production intérieure. Partout dans le monde, les prix de la plupart des produits de base étaient en baisse et le commerce international était dans un creux.

Billet de banque dépourvu d’image, fond orange qui passe au vert, abondance de caractères.

Après la Première Guerre mondiale, les Alliés ont exigé de l’Allemagne qu’elle paie des indemnités de guerre avec de l’or. Pour ce faire, l’Allemagne a imprimé des tonnes de billets de banque comme celui-ci. Durant les années 1920, le pays était aux prises avec une hyperinflation extrême, et ces billets étaient sans valeur.
Source : 50 milliards de marks, Allemagne, 1923 | NCC 1966.87.120

Ici, les producteurs canadiens de bois d’œuvre, de charbon et de blé avaient de la difficulté à trouver des marchés. Pire encore, l’été 1929 marquait le début de la sécheresse qui allait accabler les Prairies pendant huit ans. En ville, les salaires stagnaient et l’endettement des ménages s’emballait. Toutes les autos, radios et laveuses qu’on fabriquait ne pouvaient pas être vendues à l’étranger, et le marché nord-américain dépendait grandement du crédit. Les choses ne pouvaient pas continuer ainsi.

Le krach

Le glas a fini par sonner. À l’automne 1929, les actions de grandes entreprises bien établies ont commencé à fléchir. Les actionnaires voyaient des signes que le temps était venu de vendre. Les courtiers ont commencé à vendre leurs titres, et les prix des actions se sont mis à chuter dans tous les secteurs. Les ventes massives qui s’en sont suivies ont accentué la dégringolade des prix, alimentant le cercle vicieux. Le 29 octobre, après plusieurs jours de ventes et d’achats frénétiques, 25 milliards de dollars américains (450 milliards en dollars d’aujourd’hui) d’avoirs personnels s’étaient évaporés de la Bourse de New York. L’équivalent s’est produit sur les bourses canadiennes. Qu’en était-il des pauvres gens qui avaient acheté des actions « sur marge »? Ils se retrouvaient les mains vides, avec une lourde dette.

Bande de papier rudimentaire avec mots et chiffres imprimés.

Connectée à un service de télégraphie, la machine à ruban de téléscripteur imprimait constamment les cours des actions. Lors du krach boursier de 1929, les négociations étaient si frénétiques que les machines ne pouvaient pas suivre le rythme. Ainsi, beaucoup de transactions étaient basées sur des renseignements désuets.
Source : Ruban de téléscripteur, Canada, 1930 | NCC 2019.22.4

L’onde de choc

Si l’économie est une forêt, le marché boursier est un arbre parmi d’autres. Mais quand cet arbre est tombé en 1929, il en a entraîné de nombreux autres avec lui. Les banques commerciales avec lesquelles la population américaine faisait affaire au quotidien investissaient massivement dans les marchés boursiers, ce qui est illégal aujourd’hui. De plus, le système bancaire américain était un fragile ensemble de petites banques indépendantes isolées. Lorsqu’elles ont commencé à tomber, leur clientèle en panique a tenté de retirer son épargne. Même des banques en bonne santé financière ont été emportées. Au total, c’est plus de 9 000 banques américaines qui devaient disparaître. Aucune banque canadienne n’a connu le même sort, mais les États-Unis étaient (et sont toujours) notre plus important partenaire commercial, donc ces bouleversements ont eu de profondes répercussions sur notre économie. Le crédit a disparu du jour au lendemain, forçant les entreprises à fermer leurs portes. Le chômage a monté en flèche des deux côtés de la frontière, et les troubles civils grondaient.

Photo en noir et blanc, hommes qui manifestent dans les rues avec des pancartes.

Les manifestations de chômeurs, comme celle-ci, à Toronto, étaient souvent considérées comme étant le fait de communistes – et on employait la force, parfois violente, contre les manifestants.
Source: the Toronto Star, Bibliothèque et Archives Canada, vers 1930 | C-029397

Avec l’intensification de la récession, tous les prix ont continué de chuter, y compris ceux des aliments et du carburant, portant un coup fatal aux secteurs canadiens de l’agriculture et des ressources. La Saskatchewan, où les prix des céréales connaissaient un creux historique, a perdu 90 % de ses revenus en deux ans. En 1933, le produit intérieur brut du Canada avait reculé de plus de 40 %, et le chômage atteignait 20 %. À l’époque, il n’existait pratiquement aucun soutien pour les gens sans emploi. L’itinérance et la pauvreté sont devenues la norme pour des milliers de personnes au pays.

Collage, photo en noir et blanc de quatre hommes partageant un lit et billet jauni pour hébergement.

Le gouvernement fédéral a rejeté la responsabilité du bien-être de la population aux administrations provinciales et municipales – poussant beaucoup d’entre elles à la faillite.
Source : Hébergement d’une nuit, billet d’hébergement, Edmonton, Alberta, Canada | NCC 1975.47.6
Radio-Canada, Bibliothèque et Archives Canada, vers 1936 | C-013236

Obstacles à la reprise

Un des plus gros obstacles empêchant de résoudre la crise des deux côtés de la frontière était l’étalon-or. À l’époque, la quantité d’argent au sein de l’économie d’un pays était directement liée à la quantité d’or qu’il avait dans ses coffres. Quiconque avait en main de l’argent pouvait le convertir en or. Le gouvernement, pour être en mesure de créer des emplois, avait besoin de plus d’or. Aux États-Unis, une partie des réserves quittait le pays, parce que des détenteurs étrangers de monnaie américaine pris de panique voulaient l’échanger pour de l’or. La Réserve fédérale américaine a donc décidé de hausser les taux d’intérêt à répétition pour faire grimper la valeur du dollar et dissuader les investisseurs d’échanger leur argent pour de l’or. Cela a fait en sorte que l’or reste au pays. Cependant, les hausses de taux ont asséché le crédit qui aurait permis de revitaliser l’économie. Ce processus a contribué activement à empirer la Grande Dépression tout au long des années 1930.

Photo en noir et blanc, homme tenant des pelles sur un chemin de terre.

Le premier ministre du Canada Richard Bedford Bennett a mis sur pied des projets de création d’emplois et des camps de travail. Éloignés des grands centres, ils avaient souvent plus l’allure de camps de prisonniers. Les ouvriers comme ceux-ci, qui se trouvent sur une route près Kimberley en Colombie-Britannique, gagnaient 0,20 $ de l’heure (4 $ aujourd’hui).
Source : Ministère de la Défense nationale, Bibliothèque et Archives Canada, années 1930 | PA-036089

Contourner les obstacles

La pratique moderne qui veut que les gouvernements dépensent davantage en période de récession était une idée choquante pour la plupart des politiciens des années 1930. Elle est issue des théories de l’économiste John Maynard Keynes : les ralentissements font reculer les dépenses, ce qui entraîne une récession. Par conséquent, il faut dépenser pour relancer l’économie. C’est ce qu’a fait le président américain Franklin Delano Roosevelt avec son ensemble de mesures mises en place en 1933. Appelée le « New Deal » (nouvel accord), cette initiative a permis de créer des emplois et de stimuler les investissements. Roosevelt a également aboli l’étalon-or. Les hausses successives de taux d’intérêt de la Réserve fédérale américaine continuaient de freiner la circulation de l’argent, et le New Deal n’a pas tout réglé, mais il y avait une lumière au bout du tunnel.

Au Canada, le premier ministre Richard Bedford Bennett a proposé un plan similaire juste à temps pour les élections de 1935. Il prévoyait des allocations, un salaire minimum et d’importantes dépenses publiques. Toutefois, les gouvernements provinciaux y voyaient une incursion dans leurs champs de compétences, et le plan a été en grande partie invalidé par les tribunaux. Une des recommandations qui a survécu prévoyait la création d’une banque centrale pour réguler l’économie. C’est ainsi que, en 1935, la Banque du Canada a vu le jour.

Photo en noir et blanc, chantier de construction, ouvriers posant un gros rectangle de pierre à l’aide d’une grue devant deux hommes en tenue soignée.

Le premier ministre William Lyon Mackenzie King et le gouverneur de la Banque du Canada, Graham Towers, assistent à la mise en place de la pierre angulaire du nouveau siège de la Banque. Si sa fondation a eu lieu sous le règne de King, elle découlait de l’initiative de Richard Bedford Bennett.
Source : Archives de la Banque du Canada, 1937, BCP 301-12

Au cours des années suivantes, la Banque a assuré la stabilité du système bancaire. Le Canada avait abandonné l’étalon-or durant la Première Guerre mondiale, et l’a fait de nouveau en 1931. Elle a continué de prendre ses distances par rapport à un système considéré comme restrictif et obsolète. Cela a permis de libérer partiellement le crédit, mais la Banque ne pouvait guère régler les nombreux problèmes sous-jacents liés à la Grande Dépression. Il n’y avait toujours pas de marchés d’outre-mer pour nos produits, et les prix stagnaient.

Photo en noir et blanc, paysage de prairies recouvertes de dunes de terre fouettée par le vent.

Coïncidence funeste, le krach de 1929 a eu lieu alors que commençait le « Dust Bowl », une longue période de sécheresse qui a frappé les Prairies. En plus, l’agriculture souffrait de la faiblesse des prix et de la production – un désastre à la fois économique et humain.
Source : Bibliothèque et Archives Canada, 1930-1934 | e010963445

De plus, les sécheresses ont continué d’affliger périodiquement les Prairies jusqu’à l’été de 1937 – freinant la reprise au Canada. Des centaines de milliers de fermes ont fait faillite et ont été saisies ou abandonnées. Une partie importante des populations de l’Ouest a quitté les Prairies ou migré vers les villes.

Tragiquement, il a fallu une des plus grandes catastrophes humaines de l’histoire pour stimuler les dépenses et mettre fin à la Grande Dépression : la Seconde Guerre mondiale.

Leçons apprises

Les causes de la Grande Dépression font encore l’objet de débats, mais la plupart des historiennes et historiens s’accordent pour dire que le krach de 1929 n’en était pas l’unique condition. Le krach a certainement servi de catalyseur, mais l’incapacité des gouvernements à en gérer les répercussions est largement considérée comme ayant contribué à l’enracinement des conditions qui ont fait durer la Grande Dépression. Ce qu’a permis le krach boursier de 1929, c’est de révéler crûment les faiblesses des systèmes économiques issus du capitalisme débridé de la fin du 19e siècle. La plupart des dirigeants du début du 20e siècle n’ont pas su faire preuve de la prévoyance, de la souplesse et de la pensée novatrice qui auraient permis d’éviter une dépression mondiale. Les choses sont très différentes aujourd’hui.

Les avis sont encore partagés de nos jours, mais on estime généralement qu’on ne peut pas s’attendre à ce que les problèmes économiques se règlent d’eux-mêmes, pas plus qu’on peut laisser les investisseurs et les courtiers s’autoréglementer. Oui, l’économie est une machine qui fonctionne selon la théorie – mais seulement lorsqu’elle est réglementée et gérée avec humanité.

 … les décisions humaines engageant l’avenir sur le plan personnel, politique ou économique ne peuvent être inspirées par une stricte prévision mathématique… [Traduction]

John Maynard Keynes
Photo en noir et blanc, homme blanc moustachu d’âge moyen assis dans un fauteuil et tenant un livre.

John Maynard Keynes était un économiste britannique qui recommandait l’intervention du gouvernement comme solution au chômage de longue durée. Ses idées remettaient sérieusement en question l’orthodoxie économique des années 1930. Ses théories ont fait l’objet de nombreuses critiques, mais elles demeurent influentes.
Source : United Press International

Ce que voulait dire M. Keynes, c’est que lorsque nous pensons à l’économie, nous devons tenir compte de tous les besoins, souhaits et tentations des gens – ces vulnérabilités humaines qui influent grandement sur l’économie, mais sont difficiles à mesurer. Ainsi, des problèmes économiques continueront de surgir de façon inusitée et inattendue, et les autorités devront faire preuve de souplesse et de prévoyance pour les résoudre.

La crise des prêts hypothécaires à risque de 2008 ou la pandémie de COVID-19 auraient pu entraîner une dépression. Mais nous y avons échappé. Oui, la résolution de ces crises s’est traduite par sacrifices financiers douloureux, un lourd endettement et des craintes pour l’avenir. Mais, somme toute, il est peu probable que l’on connaisse à nouveau une telle décennie perdue sous le signe de la famine, de la privation, du désespoir, de la colère et du désir pour un nouvel ordre des choses. Il y a là une certaine source de réconfort.

Type(s) de contenu : Billets de blogue
Sujet(s) : Histoire, Littératie financière
Niveau(x) scolaire(s) : Secondaire 3 / 9e année, Secondaire 4 / 10e année, Secondaire 5 / 11e année et 12e année
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